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Conçu pour encadrer l’usage de substances potentiellement dangereuses pour la santé et l’environnement, le certibiocide trace une ligne claire entre les pratiques tolérées et celles qui nécessitent une compétence reconnue. Désinfectants utilisés dans les hôpitaux, produits de lutte contre les nuisibles en milieu urbain, solutions de protection du bois dans le bâtiment : tous ces usages sont concernés par une réglementation stricte.
La réforme entrée en vigueur en janvier 2024 ne fait que confirmer cette orientation. Désormais, trois certificats distincts existent, chacun lié à une famille précise de produits. Cette mesure vise à mieux refléter les pratiques professionnelles et à responsabiliser les acteurs qui manipulent ou commercialisent ces substances.
Pour bien comprendre ce que recouvre le certibiocide et savoir à quels profils il s’applique, nous vous invitons à parcourir nos deux articles dédiés. Et si vous devez vous former, vous pouvez directement trouver et réserver une formation certibiocide sur oùFormer, en ligne ou en présentiel.
Cet article revient sur la définition même du Certibiocide et sur son rôle dans la gestion des risques liés aux biocides. Vous y découvrirez les produits concernés, les objectifs de la réglementation et les principes généraux qui encadrent l’obligation de certification.
Qui doit vraiment être certifié ? Utilisateurs, acquéreurs, distributeurs, décideurs… La réglementation distingue plusieurs profils, chacun avec ses responsabilités propres. Cet article illustre, à travers des exemples concrets, les situations où le Certibiocide est obligatoire.
Depuis ses débuts, le certibiocide accompagne l’évolution des métiers exposés aux biocides et des risques liés à leur usage.
Le certibiocide a été lancé en 2015. L’idée était simple mais ambitieuse : s’assurer que certains produits biocides, potentiellement dangereux pour la santé et l’environnement, ne soient pas utilisés n’importe comment.
Cette certification visait en priorité les produits de lutte antiparasitaire (rodenticides, insecticides, etc.), et touchait donc naturellement les professions dites « 3D » (dératisation, désinsectisation, désinfection).
En moins de dix ans, de nouvelles problématiques ont émergé :
Ces évolutions ont montré que le certibiocide ne pouvait pas rester cantonné à ses premières applications. Les produits concernés et les profils exposés se sont diversifiés, et la réglementation devait suivre.
Face à ce constat, l’État a décidé de revoir le dispositif. L’arrêté du 9 octobre 2013 a été modifié en janvier 2023, et la réforme est devenue effective au 1er janvier 2024.
La grande nouveauté : la création de trois certibiocides distincts :
Cette séparation permet de mieux cibler les obligations selon les produits et de s’adapter aux situations rencontrées par les différents métiers. Un technicien 3D, un médecin de cabinet ou un responsable hygiène en EHPAD ne manipulent pas les mêmes produits : chacun doit donc suivre le parcours adapté.
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