Nous utilisons des cookies pour vous fournir l'ensemble de nos services, notamment la recherche et les alertes. En acceptant, vous consentez à notre utilisation de ces cookies.
Choisir mes préférences
Vous avez une idée. Un projet. Ou juste cette petite envie de comprendre ce qu’il se passe “derrière le rideau”. Python est souvent la première étape. Et pour une bonne raison : c’est un langage qu’on apprend vite, qu’on lit presque comme du français, et qui permet de faire des choses vraiment utiles.
Pas besoin d’être un as des maths ou un expert du clavier. Python a été pensé pour les curieux, les créatifs, les pragmatiques.
Ceux qui veulent gagner du temps, automatiser une tâche, ou juste donner vie à une idée.
Vous n’êtes pas là pour devenir développeur. Vous êtes là pour avancer. On vous montre comment.
Lire la suite
56 résultats
Sessions à la demande
Parce qu’il est partout. Derrière les sites web, les outils d’analyse, les assistants vocaux, les algorithmes de recommandation… Python s’est imposé comme le langage multi-usages par excellence. Et surtout, parce qu’il donne de vrais résultats, rapidement.
La syntaxe est lisible, propre, sans fioritures. On n’a pas besoin de comprendre toute la théorie pour écrire ses premières lignes. Et ça change tout : on progresse en pratiquant, pas en bloquant sur la grammaire du code.
Exemple : pour extraire les titres d’un site web, il suffit de quelques lignes avec les bonnes bibliothèques (comme requests et BeautifulSoup). Résultat : une liste claire de tous les titres en quelques secondes. Pas besoin d’un framework lourd, ni d’installer 15 outils. Juste Python.
Data, automatisation, scripts perso, prototypes web, jeux simples, IA… Python ne vous enferme pas dans une seule logique. Il s’utilise en solo, en équipe, pour le fun ou pour le boulot.
Vous travaillez dans la com ? Automatisez vos rapports Google Sheets.
Dans la recherche ? Traitez vos fichiers de données avec pandas.
Dans l’événementiel ? Générez des badges, des plannings, des mails.
Windows, Mac, Linux, navigateur web : Python s’installe (ou s’utilise en ligne) en quelques clics. Et si vous avez peur de "casser quelque chose", testez vos lignes dans un notebook comme Jupyter ou sur Replit. Aucun risque.
Apprendre un langage, c’est comme apprendre une nouvelle langue vivante : inutile de tout comprendre d’un coup. En Python, on peut faire beaucoup avec peu. Voici les fondamentaux à connaître pour commencer à coder utile rapidement.
Une variable, c’est une boîte à laquelle on donne un nom, et dans laquelle on range une information. Elle peut contenir du texte, un chiffre, une liste, ou même… rien du tout. Par exemple, écrire produit = "Café" ou prix = 4.50 permet de stocker ces deux informations dans des noms que vous pourrez réutiliser partout dans votre code.
En Python, vous n’avez pas besoin d’indiquer quel type de donnée vous stockez : le langage le devine automatiquement. C’est ce qu’on appelle le typage dynamique. Si vous écrivez nom = "Alice" ou quantité = 10, Python sait que nom contient une chaîne de caractères et quantité un nombre entier. Et il s’adapte si, plus tard, vous changez la valeur.
Mais attention : cette liberté demande un peu de rigueur. Si vous changez le type sans le vouloir (par exemple quantité = "dix" au lieu de 10), certaines opérations comme les calculs risquent de planter. Apprendre à surveiller ce que contient chaque variable au bon moment fait partie du processus.
L’un des meilleurs réflexes à prendre dès le départ, c’est de bien nommer vos variables. Oubliez les x, val ou truc. Ces noms ne disent rien sur leur contenu et deviennent vite illisibles dans un script un peu long. À la place, choisissez des noms clairs, sans accent ni espace, en minuscules avec des underscores : total_commande, taux_remise, nom_utilisateur…
Autre piège courant : utiliser des mots déjà réservés par Python, comme list, type, str, print, input... Si vous écrasez l’un d’eux en le transformant en variable, vous perdrez la fonction d’origine. Et les bugs qui en découlent peuvent être très difficiles à comprendre.
Un nom explicite, c’est un code plus lisible, plus maintenable et plus fiable. Vous relirez votre script dans une semaine ? Vous saurez tout de suite ce que fait montant_total_ht. Ce ne sera pas le cas avec mt1 ou x. Et si vous partagez votre code, vos collègues vous remercieront.
Pensez aussi à afficher temporairement le contenu de vos variables avec print() pendant vos tests. Cela permet de vérifier en temps réel que la donnée manipulée est bien celle attendue.
L’un des grands intérêts de la programmation, c’est d’automatiser ce qui serait long et pénible à faire à la main. Les boucles sont faites pour ça : elles permettent de répéter une action autant de fois que nécessaire, sans copier-coller une seule ligne. En Python, la boucle for est la plus utilisée pour parcourir une liste, une série de nombres ou un texte. La boucle while, quant à elle, répète une action tant qu’une condition est vraie.
Exemple simple : afficher les prénoms d’une liste de clients.
Plutôt que d’écrire une ligne par prénom, on fait une boucle : Python s’occupe de tout.
Les conditions permettent de dire au programme quoi faire selon les cas. On utilise des instructions comme if, elif et else pour orienter l’action.
Par exemple :
Les conditions donnent au code une forme d’intelligence décisionnelle. Et combinées aux boucles, elles permettent de traiter des listes entières tout en réagissant à chaque situation rencontrée.
En Python, on n’encadre pas les blocs d’instruction avec des accolades comme dans d’autres langages. Ce sont les espaces en début de ligne (appelés indentation) qui définissent la structure du code.
C’est simple et lisible… tant qu’on ne mélange pas les espaces et les tabulations. Une indentation mal gérée, et Python affiche une erreur.
Astuce : utilisez toujours 4 espaces (jamais de tabulations) et conservez la même structure dans tout le fichier.
Il est possible de faire des boucles imbriquées, c’est-à-dire une boucle dans une autre. C’est parfois nécessaire, par exemple pour parcourir une liste de listes (comme un tableau à deux dimensions). Mais attention à ne pas trop empiler ce genre de structure : plus il y a de niveaux, plus le code devient difficile à lire… et lent à exécuter.
Une bonne pratique : gardez votre logique aussi simple que possible, et si une boucle devient trop complexe, pensez à la découper avec une fonction dédiée.
Une liste permet de stocker plusieurs éléments dans une seule variable, dans un ordre bien défini. C’est comme une étagère avec des cases numérotées : on peut y ranger ce qu’on veut (textes, nombres, booléens, voire d’autres listes), et accéder à chaque élément par sa position.
Exemple :
fruits = ["pomme", "banane", "kiwi"]
Ici, "pomme" est en position 0, "banane" en 1, etc. Oui, en Python, on commence à compter à partir de zéro. C’est déroutant au début, mais on s’y fait vite.
Les listes sont faites pour être parcourues avec des boucles, triées automatiquement, filtrées selon des conditions ou modifiées à la volée.
Vous pouvez :
Ces opérations permettent de manipuler la donnée avec souplesse, que vous travailliez sur une liste d’emails, de prix, de réponses utilisateur ou de fichiers à traiter.
Python propose des fonctions intégrées pour travailler avec les listes sans effort :
Et si vous avez besoin de créer rapidement une suite de nombres, range() et list() font très bien le job.
Par exemple : list(range(1, 6)) donne [1, 2, 3, 4, 5].
Quand on assigne une liste à une nouvelle variable (copie = original), on ne crée pas une vraie copie. On crée un alias : les deux noms pointent vers la même liste. Si vous modifiez l’un, l’autre change aussi.
Pour éviter ça, utilisez copie = original.copy() ou un slicing comme copie = original[:].
Ce détail technique est souvent à l’origine de bugs mystérieux : on pense qu’on travaille sur deux objets séparés… alors qu’on manipule exactement les mêmes données.
Quand vous vous surprenez à copier-coller plusieurs lignes de code, il est temps de créer une fonction. Une fonction, c’est un petit bloc de code que vous nommez, que vous pouvez appeler à tout moment, autant de fois que nécessaire, et qui vous évite de tout réécrire à chaque fois.
Vous lui donnez un nom clair, vous lui transmettez des informations (appelées paramètres), et elle vous renvoie un résultat ou exécute une action. C’est simple, lisible, et ça rend votre script beaucoup plus facile à comprendre.
Exemple typique : une fonction calcul_tva(prix) peut vous éviter de répéter la formule du calcul de TVA partout dans votre programme.
Déclarer une fonction en Python se fait avec le mot-clé def, suivi du nom de la fonction et des paramètres entre parenthèses. Le corps de la fonction est indenté, comme toujours.
Elle peut ensuite retourner une valeur avec return, ou simplement exécuter une série d’actions (comme afficher un message ou enregistrer une donnée).
Vous pouvez :
Résultat : un code mieux structuré, plus lisible, et bien plus facile à maintenir.
Une bonne fonction a un nom qui commence par un verbe : envoyer_email(), calculer_moyenne(), formater_texte(). On comprend tout de suite ce qu’elle fait. Et si elle est bien construite, on n’a même pas besoin de regarder son contenu pour s’en servir.
Ajoutez une documentation courte (appelée docstring) juste sous la définition pour rappeler son rôle.
Exemple :
def calcul_tva(prix):
"""Calcule le montant de TVA à 20% pour un prix donné."""
return prix * 0.20
Cela peut paraître accessoire au début, mais ça devient très précieux dès que votre script grandit.
Une fonction doit faire une seule chose. Si elle commence à faire deux, trois, quatre choses différentes, c’est qu’il faut probablement la diviser en plusieurs petites fonctions.
Règle d’or : si vous ne pouvez pas décrire son rôle en une phrase simple, elle est probablement trop complexe. Et si vous avez du mal à lui donner un nom explicite, c’est le signe qu’elle n’est pas assez claire.
Lire un fichier texte, parcourir une feuille Excel, exporter des données nettoyées… La manipulation de fichiers, c’est souvent le moment où Python devient vraiment utile dans le quotidien pro. Et c’est bien plus simple qu’il n’y paraît.
Vous pouvez :
C’est idéal pour nettoyer des exports, extraire des infos, ou générer des rapports à la volée.
La logique est simple : on ouvre un fichier, on le lit, puis on le ferme. Pour éviter d’oublier l’étape de fermeture (source fréquente de bugs), on utilise l’instruction with. Python s’occupe de tout, proprement.
Vous pouvez ensuite :
Parfait pour un tableau d’inscriptions, une base client ou un fichier de logs.
Une fois les données modifiées, vous pouvez créer un nouveau fichier ou écraser l’ancien. Il suffit de changer le mode d’ouverture (w pour écrire, a pour ajouter à la fin, etc.). Là encore, with fait le job sans mauvaise surprise.
Petit conseil : si vous travaillez sur des fichiers sensibles ou volumineux, faites toujours une copie avant de lancer vos tests. Un bug peut suffire à écraser des centaines de lignes.
Tout ce que vous lisez depuis un fichier arrive sous forme de chaîne de caractères. Même si vous y voyez un chiffre, Python le lira comme du texte. Il faut donc penser à convertir les valeurs avec int(), float(), etc., selon vos besoins.
Exemple classique : un prix lu depuis un fichier .csv devra être transformé en nombre pour pouvoir être additionné ou comparé.
Ne pas anticiper cette conversion est une erreur fréquente, qui génère des bugs silencieux ou des résultats incohérents. Soyez attentif dès le début.
Vous avez appris à stocker des données, automatiser des actions, organiser des listes, écrire des fonctions, lire des fichiers ? Vous avez déjà tout ce qu’il faut pour passer à des projets utiles, concrets et motivants.
Et non, pas besoin d’attendre d’avoir “tout vu” pour vous lancer.
Python est parfait pour automatiser ce que vous faites encore à la main :
Quelques lignes suffisent. Et une fois que ça fonctionne… ça fonctionne pour toujours.
Vous pouvez lire des fichiers de ventes, trier des infos, faire des calculs, créer des tableaux récapitulatifs… sans même ouvrir Excel. Avec des bibliothèques comme pandas, vous chargez un fichier, vous le nettoyez, vous le filtrez, et vous exportez un nouveau fichier tout propre.
Exemple : supprimer toutes les lignes avec des doublons, calculer une moyenne, trier par chiffre d’affaires, ajouter une colonne “performance” selon des critères personnalisés.
Avec les bons outils, Python peut parcourir automatiquement des pages web, récupérer des infos, et les organiser dans un tableau. On appelle ça du web scraping.
C’est utile pour :
Et tout ça sans avoir besoin d’interagir avec la page manuellement. Python le fait pour vous.
Un script Python peut assembler des informations, les mettre en forme, et générer un rapport prêt à être envoyé : facture, fiche client, synthèse d’activité… C’est très utilisé dans les métiers du support, de la gestion, ou des RH.
Et si vous avez déjà un modèle de document (par exemple en .docx ou .xlsx), Python peut le remplir automatiquement à partir de vos données.
Même si vous n’automatisez rien, Python peut vous servir à mieux comprendre vos données. En quelques lignes, vous pouvez :
Et plus vous manipulez, plus vous comprenez comment les choses fonctionnent. Python devient alors un outil de réflexion, pas juste un outil de production.
Ce que vous apprenez aujourd’hui vous prépare déjà à :
Tout ça ne dépend pas d’un niveau “expert”, mais d’un apprentissage progressif, orienté vers l’usage. Et c’est justement ce que Python permet.
Apprendre Python, ce n’est pas une course. Ce n’est pas non plus quelque chose qu’on “termine”. C’est un chemin qu’on construit, projet après projet, essai après erreur. La bonne nouvelle, c’est qu’avec un peu de méthode, on progresse vite… et avec plaisir.
Inutile de viser une IA ou un site web complet dès le premier mois. Commencez avec ce qui vous parle : une tâche à automatiser, un jeu simple, un petit outil perso.
Plus votre projet est concret, plus vous aurez envie de comprendre comment y arriver. C’est ça, le vrai moteur de l’apprentissage.
Que vous ayez 30 minutes par jour ou 2 heures le week-end, l’important est la régularité.
Installez une routine réaliste :
Et si vous ratez un jour, ce n’est pas grave. Ce n’est pas un sprint, c’est une progression continue.
Lire du code, c’est bien. L’écrire soi-même, c’est mieux.
Essayez d’avoir toujours un terminal ou un notebook ouvert pour tester ce que vous apprenez immédiatement. Même une ligne ou deux. Même si ça ne fonctionne pas du premier coup (surtout si ça ne fonctionne pas du premier coup).
Les erreurs sont des passages obligés, pas des échecs.
Ne considérez jamais les bases comme acquises trop vite. Refaire un exercice simple deux semaines plus tard, sans regarder vos notes, est souvent plus efficace qu’un tutoriel avancé.
Revoir les variables, les boucles, les fonctions, les erreurs courantes… ce sont les fondations. Plus elles sont solides, plus tout le reste devient naturel.
Certaines personnes avancent très bien seules. D’autres préfèrent un fil conducteur, un plan, un accompagnement, des points de passage clairs.
Si vous sentez que vous tournez en rond, que vous manquez de structure ou que vous ne savez pas quoi enchaîner, il existe des parcours complets encadrés qui permettent de progresser étape par étape, avec des exercices corrigés, des objectifs précis, et parfois même une validation finale.
C’est une excellente option pour ceux qui veulent aller plus loin, plus vite, ou tout simplement ne pas être seuls face à leur écran.
Des doutes, des hésitations, ou juste un brin de curiosité avant de vous lancer ? Vous n’êtes pas seul. On a regroupé ici les questions qu’on se pose tous au début.
C’est tout à fait possible, à condition d’avancer par petits projets et de pratiquer dès le départ.
Apprendre Python en autonomie fonctionne très bien si vous adoptez une méthode progressive. Commencez par des bases solides (variables, conditions, boucles…), puis appliquez-les sur des cas concrets : un générateur de mots de passe, un fichier à nettoyer, un tableau à trier. Il existe de nombreuses ressources gratuites (vidéos, docs, exercices interactifs) pour vous guider. L’essentiel, c’est d’écrire du code régulièrement, même si ce n’est que quelques lignes par jour.
Non, c’est même l’un des langages les plus accessibles pour les débutants.
Sa syntaxe claire et proche de l’anglais permet de progresser rapidement sans être bloqué par la complexité du langage. Python a été pensé pour être lisible, logique, et rassurant. Il est aussi très tolérant sur les erreurs de débutants. Bien sûr, comme pour tout langage, il y a des concepts à apprivoiser, mais rien d’insurmontable avec un peu de pratique et de curiosité.
Non, pas vraiment. En 7 jours, vous ne ferez pas le tour de Python et c’est normal.
Ce que vous pouvez faire en revanche, c’est découvrir les bases, comprendre la logique du langage, écrire vos premières lignes de code, et réaliser un petit projet simple. Mais Python est un outil riche, qui s’apprend en pratiquant sur la durée. Se fixer 7 jours peut être un bon point de départ, mais pas une promesse de maîtrise. Si vous y consacrez un peu de temps chaque semaine, les vrais résultats arrivent rapidement.
Le temps dépend surtout de votre régularité.
En quelques semaines, vous pouvez écrire vos premiers scripts utiles. Et en quelques mois, devenir autonome sur des tâches concrètes comme l’automatisation ou la manipulation de fichiers. Envie d’un fil rouge pour progresser sans perdre le cap ? oùFormer propose des parcours clairs et structurés pour apprendre Python efficacement.
Voir plus
Voir plus
Infos
Trouver le bon CACESComprendre l'habilitation éléctriqueMentions légalesConditions d'utilisationNous utilisons des cookies pour vous fournir l'ensemble de nos services, notamment la recherche et les alertes. En acceptant, vous consentez à notre utilisation de ces cookies.
Choisir mes préférences