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Formations gestion du stress et des émotions : respirez, vous êtes au bon endroit
Pression constante, tensions internes, surcharge émotionnelle : le stress n’est plus un simple inconfort passager. Il affecte la performance, la cohésion d’équipe et la qualité de vie au travail. Et ses conséquences (turnover, démotivation, burn-out) sont aujourd’hui bien connues des entreprises.
Heureusement, les lignes bougent. Aujourd’hui, les entreprises prennent conscience de l’importance de former leurs équipes à mieux vivre ces situations. Et les professionnels eux-mêmes cherchent des outils concrets pour retrouver de la sérénité, de l’équilibre et de la clarté.
Sur oùFormer, vous accédez à une offre riche de formations en gestion du stress et des émotions, pensée pour accompagner toutes les strates de l’organisation : collaborateurs en tension, managers en surcharge, équipes RH en quête de solutions durables. Régulation émotionnelle, communication non violente, gestion des conflits, respiration, pensée positive… Les programmes sont variés, les approches complémentaires, les formats adaptés à vos contraintes.
Présentiel, distanciel, sur-mesure, inter ou intra-entreprise. Éligible CPF, financements OPCO, ou intégré à votre plan de développement des compétences. oùFormer vous permet de comparer, sélectionner et réserver facilement la formation qui répond aux besoins réels du terrain.
Chez oùFormer, notre mission est simple : rendre la formation professionnelle accessible à tous, partour et à tout moment. Nous nous engageons à sélectionner des organismes de formation de qualité pour que vous et vos collaborateurs puissiez vous former simplement
Les formations sont variées, mais l’idée reste la même : aider chacun à mieux vivre ses émotions au travail. Voici ce que ces formations ont toutes dans leur ADN.
La gestion du stress et des émotions est abordée sous des angles très divers selon les organismes de formation et les formats proposés. Pourtant, toutes ces formations partagent une ambition commune : aider les professionnels à mieux comprendre ce qu’ils vivent, et leur donner des outils concrets pour agir en conscience.
Que vous suiviez une formation courte, un atelier immersif, un parcours individuel ou un stage collectif, les objectifs globaux restent les mêmes :
Chaque organisme propose des méthodologies spécifiques, mais la plupart des formations s’appuient sur un socle pédagogique commun : mise en pratique, introspection, et transfert dans le contexte de travail.
Parmi les approches les plus fréquemment mobilisées :
La majorité des formations alterne temps réflexifs, apports structurés et expérimentation, pour favoriser l’ancrage durable des acquis.
Les formations en gestion du stress et des émotions au travail s’adressent à tous les profils professionnels, sans restriction de secteur ou de niveau hiérarchique.
Elles sont notamment utiles pour :
Aucun prérequis n’est nécessaire. Ces formations sont conçues pour être accessibles à tous, que l’on soit déjà sensibilisé à ces thématiques ou en pleine découverte.
Les durées varient selon le format pédagogique, le niveau visé et les objectifs définis :
Lieux et modalités :
Le stress au travail ne se voit pas toujours, mais il agit en profondeur. Il s’installe parfois sans crier gare : une charge qui augmente, des délais plus serrés, des tensions qui s’accumulent, et ce sentiment diffus qu’on ne tient plus vraiment la barre. Le plus souvent, ce n’est pas la personne qui est « trop fragile », mais la situation qui dépasse les ressources dont elle dispose pour y faire face.
C’est exactement ce que rappelle l’INRS : on parle de stress professionnel quand il y a déséquilibre entre les contraintes exercées sur un salarié et les moyens qu’il a pour y répondre. Ce déséquilibre peut être ponctuel, c’est ce qu’on appelle un stress aigu, ou s’installer dans la durée. Dans ce cas, on parle de stress chronique. Et là, les conséquences ne sont plus anodines.
Sur le plan individuel, le stress chronique altère la concentration, le sommeil, l’humeur, le système immunitaire. Il peut mener à l’épuisement, à la dépression, ou au retrait social. Sur le plan collectif, il fragilise les équipes : baisse de performance, absentéisme, erreurs, tensions interpersonnelles, démotivation. Il finit par coûter cher, humainement et économiquement.
Ce qu’il faut comprendre, c’est que le stress n’est pas une défaillance personnelle. Ce n’est pas « dans la tête ». Ce n’est pas non plus un simple passage à vide que l’on peut surmonter à force de volonté. C’est une réaction d’adaptation face à un environnement de travail qui devient, peu à peu, inadapté aux besoins humains.
Reconnaître cela, c’est déjà sortir du jugement, de la culpabilité, et ouvrir la voie à des actions concrètes. Et c’est précisément ce que permet une démarche de prévention bien construite, où chacun (salarié, manager, dirigeant) peut agir à son niveau.
On a tous connu ce moment de tension juste avant une échéance. Mais à quel point devient-il inquiétant quand il ne s’arrête plus ? Comprendre cette bascule, c’est déjà commencer à la prévenir.
Un peu de stress avant une prise de parole, une deadline ou un entretien délicat ? C’est normal. Ce qu’on appelle le stress aigu est une réaction d’adaptation, une alerte temporaire du corps face à une situation perçue comme menaçante ou exigeante. Il mobilise l’énergie, aiguise la vigilance, pousse à agir. Et quand la pression retombe, l’organisme retrouve son équilibre.
Dans un environnement sain, ce type de stress est gérable et transitoire. Il peut même être perçu comme moteur, tant que le corps a le temps de récupérer et que les situations restent exceptionnelles.
Le problème surgit lorsque cette alerte ne s’éteint plus. Quand les tensions deviennent quotidiennes, que les ressources ne suffisent plus à faire face, et que l’organisme reste en état d’alerte prolongé. C’est le stress chronique, et il agit en profondeur.
Ses effets sont multiples :
Ce type de stress ne se voit pas toujours, mais il désorganise le travail en silence. Le plus préoccupant, c’est que les personnes concernées finissent souvent par penser que c’est normal, que c’est le métier qui veut ça, ou que le problème vient d’elles.
Il ne faut pas attendre que les signes deviennent visibles ou critiques. Le stress chronique ne disparaît pas tout seul : il s’installe quand rien n’est mis en place pour l’écouter, le nommer, l’encadrer. En sortir suppose une vraie démarche de prévention, pensée à l’échelle de l’organisation.
Car au-delà de l’impact humain, le stress au travail engage aussi la responsabilité de l’employeur. Et cette responsabilité n’est pas simplement morale, elle est encadrée par la loi.
Le stress au travail ne relève pas seulement du bon sens managérial : c’est un risque professionnel encadré par la loi, qui engage directement la responsabilité de l’employeur.
La prévention du stress au travail ne relève pas du simple bon sens managérial. Elle s’inscrit dans une obligation légale claire. L’article L.4121-1 du Code du travail impose à l’employeur de prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs. Cela inclut la prévention des risques psychosociaux, dont le stress est une composante majeure.
Ce que la loi exige, ce n’est pas seulement d’agir « au mieux » : c’est d’obtenir des résultats concrets. En cas de dommages liés à un stress professionnel non maîtrisé (troubles psychiques, burn-out, désinsertion), l’entreprise peut être reconnue responsable, même sans intention de nuire. Cette obligation de résultat a été confirmée à plusieurs reprises par la jurisprudence.
Cela implique :
Au-delà du cadre légal, cette responsabilité est aussi une opportunité de transformation. En agissant sur les causes du stress (surcharge, manque de reconnaissance, tensions relationnelles, changements mal accompagnés) l’entreprise améliore le climat social, limite les risques psychosociaux (RPS) et favorise un engagement plus durable.
Prévenir le stress, c’est donc respecter la loi. Mais c’est surtout prendre soin de ce qui fait la force d’une organisation : les personnes qui y travaillent.
Pour être utile, durable et légitime, la démarche doit être collective, structurée et centrée sur l’organisation du travail. C’est ce que recommande l’INRS dans ses référentiels, et ce que confirme l’expérience de terrain : là où l’on agit sur les causes, les résultats suivent.
Voici les cinq grandes phases à mettre en œuvre pour bâtir une démarche de prévention réellement efficace.
Cela commence par la mobilisation de la direction et l’implication des parties prenantes (RH, représentants du personnel, encadrement, salariés). Il s’agit de poser un cadre clair, recueillir des données fiables (absentéisme, turnover, indicateurs santé) et construire un climat de confiance.
À l’aide d’outils adaptés au contexte (grilles d’évaluation, questionnaires, entretiens individuels ou collectifs, observations terrain), il est possible de repérer les facteurs de tension : surcharge de travail, manque d’autonomie, flou des responsabilités, conflits, changements mal accompagnés…
Ce plan doit prioriser les mesures, définir les moyens à mobiliser, fixer des échéances et des responsables. Les actions peuvent viser l’organisation du travail, le management, les procédures internes ou les ressources disponibles.
Le passage à l’acte est décisif : il ne suffit pas d’annoncer, il faut faire. Cela suppose un pilotage actif, une communication transparente, et un engagement de l’encadrement.
Rien n’est figé. Il faut mesurer l’impact des actions, interroger les salariés, ajuster si besoin, et inscrire la démarche dans la durée. La prévention du stress est un processus vivant, pas une campagne ponctuelle.
Agir sur l’organisation est indispensable, mais cela ne remplace pas le besoin d’outiller les personnes elles-mêmes. La formation peut alors devenir un appui concret pour renforcer les capacités individuelles, à condition de s’inscrire dans une logique globale de prévention.
La formation en gestion du stress et des émotions a toute sa place dans une stratégie de prévention. Mais elle ne doit jamais servir d’écran à l’inaction, ni masquer des dysfonctionnements organisationnels. Former n’est pas détourner, c’est outiller.
Lorsqu’elle est bien choisie et bien intégrée, une formation permet aux salariés, comme aux managers, d’apprendre à mieux identifier ce qu’ils ressentent, à réguler leurs réactions, à préserver leur énergie mentale dans des environnements parfois contraints. Elle développe des compétences psychosociales utiles : communication interpersonnelle, gestion des tensions, affirmation de soi, prise de recul.
Ces formations ne sont pas abstraites. Elles s’appuient sur :
Pour les managers, elles permettent aussi de mieux accompagner leurs équipes, de détecter les signaux faibles, et de réagir plus justement face aux tensions internes.
Une formation ne peut pas tout. Elle ne remplacera jamais une mauvaise organisation, un défaut de reconnaissance ou une surcharge chronique. Si les causes structurelles du stress ne sont pas prises en compte, la formation ne fera que retarder l’épuisement.
C’est lorsqu’elle est pensée comme un levier, au sein d’un dispositif global, qu’elle devient puissante. Elle agit alors en complément d’actions managériales, organisationnelles, collectives.
Reste une question clé pour passer à l’action : comment financer ces formations en gestion du stress et des émotions, que ce soit à l’échelle individuelle ou pour toute une équipe ?
La grande majorité des formations en gestion du stress et des émotions peut faire l’objet d’un financement total ou partiel, en fonction du statut du bénéficiaire, de la nature de la formation choisie et de l’organisme qui la dispense. Voici les principaux dispositifs mobilisables.
C’est aujourd’hui le dispositif le plus fréquemment utilisé par les entreprises pour financer une formation en gestion du stress et des émotions. Il permet de programmer des actions de formation ciblées, en lien direct avec les enjeux de l’organisation : amélioration du bien-être, prévention des RPS, accompagnement au changement, soutien managérial, etc.
Ce plan peut couvrir :
Le plan de développement des compétences est géré en interne par l’employeur, mais il peut s’appuyer sur l’OPCO de branche pour le montage et la prise en charge.
Les OPCO jouent un rôle clé dans le financement de la formation continue, en particulier pour les TPE et PME. Ils peuvent prendre en charge tout ou partie des frais de formation, selon plusieurs critères :
Les formations en gestion du stress et des émotions sont souvent favorisées lorsqu’elles s’inscrivent dans une logique de QVT, de prévention des risques ou de maintien dans l’emploi. Certains OPCO intègrent ces thématiques dans leurs campagnes prioritaires annuelles.
Le CPF peut permettre de financer une formation en gestion du stress et des émotions, à condition que celle-ci soit reconnue officiellement par l’État. Cela signifie qu’elle doit être enregistrée :
Dans ce domaine, sont généralement éligibles :
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